L'Ukraine et la Russie en tête des priorités internationales du chef de l'État. Lors de sa conférence de presse mardi soir (16 janvier 2024), Emmanuel Macron a tenu a réitérer son soutien à Kiev.« Nous ne pouvons pas laisser la Russie gagner et nous ne devons pas le faire car alors la sécurité même de l’Europe et de tout le voisinage russe serait remis en cause ». Un accord de sécurité entre Paris et Kiev devrait d’ailleurs être annoncé lors de la visite du chef de l’État en Ukraine, le mois prochain (février 2024).
Presque deux ans après le début de la guerre, c’est peu de dire que le conflit est à un tournant. Le président Volodymyr Zelensky craint d’être lâché par ses alliés occidentaux, et multiplie les déplacements. C’est tout l’objet de la biographie du président ukrainien signé du correspondant en Ukraine de Time Magazine, Simon Shuster. Elle a pour titre « Nous vaincrons » en français, « The Showman » en anglais.
« Nous vaincrons » de Simon Shuster, publié chez Harper Collins, sortira en France le 24 janvier 2024.
C’est une des conséquences du conflit en Ukraine, et non des moindres : l’arrêt de la coopération entre l’Europe et Moscou sur la collecte des déchets nucléaires en Arctique.
Oui, c’était pourtant l'un des projets de coopération les plus ambitieux entre la Russie et les pays européens : le démantèlement des déchets radioactifs abandonnés en Arctique à l'époque soviétique. Les Européens ont gelé les financements, et la principale ONG norvégienne, la Fondation Bellona, très impliquée dans ce projet a été déclarée « agent étranger » et a donc quitté la Russie. C’est le reportage à Oslo de Carlotta Morteo.
En Russie, la chasse aux dissidents et aux opposants atteint même l’Église orthodoxe
Une figure libre de l’Église Orthodoxe, le père Alexis Ouminsky avait son franc parler. Après avoir été émis de ses fonctions de recteur de l’Église de la Trinité en plein centre de Moscou, un tribunal ecclésiastique l’a démis de ses fonctions. C’est le portrait signé Anastasia Becchio.
C’est un sujet qui mobilise autant les écologistes que les agriculteurs en Irlande et pour une fois, ils sont d’accord pour dire qu’il y a trop de cerfs en Irlande. La population des cervidés a explosé avec un impact sur la biodiversité, mais aussi l’agriculture et la sécurité routière. On retrouve à Dublin Clémence Pénard... le gouvernement a publié, en ce début d’année 2024, de nouvelles recommandations pour les abattre.
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