En Autriche, des mamies et des jeunes résistent à l’extrême droite
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Depuis deux mois, une coalition de la droite et de l’extrême droite gouverne l’Autriche. Il y a 18 ans, une première association droite/FPÖ avait provoqué des vagues de protestation massives. Aujourd’hui, les mouvements de contestation n’ameutent plus les foules. Pourtant, il existe encore des résistants à Vienne, comme ces mamies aux bonnets roses et des jeunes chanteurs engagés – deux générations liées par le même souci de responsabilité morale. Céline Béal.
Macerata, l’attaque raciste qui empoisonne la campagne électorale italienne. Le 3 février 2018, Luca Traini, un sympathisant d’un groupuscule fasciste tire depuis sa voiture sur des Africains, dont six seront gravement blessés et transportés à l’hôpital. Depuis, le sujet ne cesse d’empoisonner le débat politique. Cécile Debarge.
Le trafic d’enfants au cœur de l’Europe. Le sujet est encore tabou. Comment imaginer sur le Vieux continent la persistance de l’esclavage, d’un trafic organisé de chair fraîche ? Pourtant, c’est une activité très lucrative pour les réseaux criminels qui vendent des jeunes filles et des jeunes garçons. Pour la chaîne Arte, la réalisatrice allemande Sylvia Nagel a mené l’enquête en Europe de l’Est, en France, en Allemagne. Elle répond à Catherine Rolland.
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« Trafic d’enfants au cœur de l’Europe » , un documentaire diffusé sur la chaîne franco-allemande Arte, mardi 20 février 2018 à 22h30.
Garry Haggarty, l’ex paramilitaire « pardonné ». Il est protestant, nord-irlandais. Il a été condamné à 6 ans et demi de prison. De 1991 à 2007, il a participé à de nombreuses violences, notamment au meurtre de cinq catholiques. Pourtant, Garry Haggarty ne devrait pas faire de prison, grâce à un accord passé avec la police. Ce qui suscite la colère des familles des victimes. Julien Lagache.
Sortir à Bruxelles pour l’expositionLes Yezidis, un peuple entre exil et résistance. En 2014, l'organisation terroriste Etat islamique s'empare de la ville de Sinjar en Irak, où vivent la majorité des Yezidis. Elle tue les hommes et réduit femmes et enfants en esclavage. En hommage à ce peuple opprimé, la photographe belge Johanna de Tessières a choisi d’exposer ses clichés. Laxmi Lota.
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