Trop peu de réfugiés embauchés en Allemagne

Rencontre au sommet, le 14 septembre 2016, à Berlin entre la Chancelière et les grands patrons allemands sur la question de l’emploi des réfugiés. Angela Merkel leur a de nouveau demandé de faire appel aux 350 000 réfugiés qui sont autorisés à travailler. Depuis le printemps 2015, sur le marché du travail, seuls 30 000 réfugiés ont trouvé un emploi. Barrière de la langue, difficultés administratives : autant de raisons qui expliquent ce constat. Mais avec une économie qui se porte bien, et une forte pénurie de main-d’œuvre qualifiée, les réfugiés pourraient bien constituer une chance. Dans le sud de Berlin, Julien Mechaussie s’est rendu dans une entreprise de production de fenêtres. Une PME qui a décidé de miser sur ces réfugiés.

A Berlin, la Redi School forme gratuitement les réfugiés à la programmation informatique. © Redi School

Les abus sexuels dans l’Église (2/3) : En France, depuis près d’un an, l’Église catholique doit affronter une réalité longtemps cachée : celle des prêtres pédophiles. Les victimes réclament des mesures et des protocoles pour être écoutées, et surtout pour encadrer les religieux malades. Du côté des agresseurs eux-mêmes, les prêtres pédophiles souhaitent un meilleur accompagnement. Le reportage de Daphné Gastaldi et Mathieu Perisse, du collectif We Report.

Aux derniers Jeux Olympiques à Rio, l’Ukraine s’est classée 31ème. Parmi les 11 médaillés, un athlète a fait sensation : Jean Beleniuk, lutteur gréco-romain, qui a ramené une médaille de bronze. Un beau parcours, pour cet Ukrainien d’origine rwandaise. Sébastien Gobert.

La ville de Lisbonne rencontre elle aussi des problèmes d’hygiène, non par manque d’eau chaude, mais plutôt en raison du grand nombre de noctambules qui prennent les murs des maisons pour des pissotières. La ville réagit. Marie-Line Darcy.

The Citizens Advertising Takeover Service (C.A.T.S)

A Londres, une station de métro a fait fourrure neuve depuis lundi 12 septembre 2016. Les panneaux et les encarts publicitaires de Clapham Common, dans le sud de la capitale, sont envahis par des photos de chats pour deux semaines. C’est pour faire sourire les voyageurs, mais aussi pour faire passer un message. Marie Billon.