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RDC

RDC: des fonds internationaux suspendus à des progrès de gouvernance

Alors que le président congolais Félix Tshisekedi multiplie les promesses, les institutions financières internationales sont de plus en plus sollicitées. Kinshasa ne cache pas avoir besoin de la Banque mondiale ou du FMI pour réaliser le changement promis, mais il faudra sans doute encore attendre.

Vue de Kinshasa, en janvier 2019. (Image d'illustration)
Vue de Kinshasa, en janvier 2019. (Image d'illustration) John Wessels/Bloomberg via Getty
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Aujourd’hui, la priorité, c’est de parvenir à décaisser d’ici à six mois la somme d’un milliard de dollars américains, part restante du programme triennal qui s’achève. Cette somme n’avait pas pu être dépensée pendant la période tumultueuse de transition politique, explique-t-on du côté de la Banque mondiale.

Une nouvelle enveloppe est en discussion. La Banque mondiale se dit prête à engager cinq milliards de dollars américains sur cinq ans, soit un milliard par an. Pour financer notamment les routes, des projets de santé, d'éducation, etc.

Un projet d’urgence d’appui à la gratuité de l’enseignement primaire est d’ailleurs en discussion. C’est l’un des plus grands projets du président Tshisekedi. Mais ce projet devra être soumis au conseil d’administration de la Banque mondiale.

Tout cet argent sera affecté dans des secteurs précis. Mais, pour les appuis budgétaires, il faudra attendre. La Banque mondiale conditionne son apport à une amélioration de la gouvernance.

À lire aussi : Les recommandations du FMI pour un redressement financier de la RDC

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