Elles sont jeunes et jolies et vendent leurs charmes pour payer leurs études, et s’assurer un confort. Elles ne se considèrent pas comme des prostituées. Leurs partenaires sont des hommes beaucoup plus âgés : des «sugar dadys» en Europe, ou «sponsors» dans les campus africains, qui offrent des cadeaux ou de l’argent.Quels parcours de vie ont mené ces étudiantes pour vendre leurs corps? Qui sont-elles?
- Nadia Le Brun, journaliste et auteur de «Les nouvelles courtisanes» (Editions Kero)
- Alexis Her, vice-président de la FAGE (Fédération des Associations Générales Etudiantes) en charge des Affaires Sociales.
Et par téléphone depuis Dakar, Babacar Diagne, chef du Département de la gestion de la Cité universitaire et la vie estudiantine de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.
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