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Grand reportage

La nouvelle génération de Tchernobyl

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Début octobre 2017, l’IRSN français et d’autres régulateurs nucléaires européens ont détecté un nuage radioactif de faible intensité au-dessus de l’Europe. Il venait vraisemblablement du sud de l’Oural, de Russie ou du Kazakhstan. Il n’y aurait eu aucune conséquence pour la santé des populations du continent, mais l’annonce a provoqué quelques émotions. On se rappelle du précédent de Tchernobyl, après l’explosion du réacteur numéro 4, le 26 avril 1986. C’était la première catastrophe nucléaire de grande ampleur. Depuis, les autorités locales, des partenaires étrangers et de nombreux pays de la Communauté internationale travaillent à en gérer les conséquences. Sur le site de Tchernobyl, au nord de l’Ukraine, des milliers de personnes y travaillent chaque jour, pour maintenir les installations, sécuriser le site, et achever la nouvelle Arche de confinement qui recouvre le réacteur numéro 4.Sébastien Gobert s’est rendu sur place, à la rencontre des employés de Tchernobyl. Dans une atmosphère étrange, qui mêle la normalité de la routine quotidienne à la mission historique qui consiste à protéger le monde de nouvelles émissions de radioactivité, ces employés s’affairent, et mènent leur vie, sur le site de la catastrophe nucléaire.

Une vue d'ensemble du nouveau dôme de confinement couvrant le quatrième réacteur endommagé à la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, le 29 novembre 2016.
Une vue d'ensemble du nouveau dôme de confinement couvrant le quatrième réacteur endommagé à la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, le 29 novembre 2016. REUTERS/Gleb Garanich
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