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Si loin si proche

L’Orient pas si Express

Publié le :

Itinérance ferroviaire de Paris à Istanbul, sur le tracé historique de l’Orient Express. Une éloge de la lenteur et du voyage en train, avec beaucoup d’escales.

En route vers l’Est, vue depuis le train entre Budapest et Bucarest.
En route vers l’Est, vue depuis le train entre Budapest et Bucarest. © Sibylle D’Orgeval
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Paris-Munich-Vienne-Budapest-Bucarest-Istanbul : c’est le trajet historique de l’Orient-Express inauguré en 1883. Parti pour la première fois depuis la Gare de l’Est à Paris, ce train de légende va ouvrir les portes de l’Orient, rapprocher les cultures et les hommes. À l’époque, certains commentateurs allaient même jusqu’à dire que le Bosphore était devenu la banlieue de Paris. L’avion n’en était alors qu’à ses balbutiements et quatre pour rejoindre directement Constantinople et cet Orient rêvé, fantasmé, c’était une vraie révolution ! Jusqu’en 1977, ce train mythique, luxueux, va embarquer toute une aristocratie européenne en mal de grands voyages et d’écrivains en quête de sensations. Aujourd’hui, au XXIè siècle, alors que le train revient en force et que les voyageurs s’interrogent sur l’impact carbone de leurs mobilités, il aura fallu aussi quatre jours à Sibylle D’Orgeval, notre reporter, pour rejoindre les rives du Bosphore, après de multiples escales, de rencontres inattendues, d’images furtives et de changements de train : 6 au total. Prenez votre billet, embarquement immédiat sur l’Orient pas si Express… 

Un voyage sonore de Sibylle d’Orgeval.

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