Le 28 novembre 2017, lors de son déplacement à Ouagadougou, Emmanuel Macron avait fait la promesse d'oeuvrer afin que «d'ici cinq ans, les conditions soient réunies pour des restitutions, temporaires ou définitives du patrimoine africain en Afrique». Avant même la remise du rapport commandé à l'historienne Bénédicte Savoy et à l'universitaire et écrivain sénégalais Felwine Sarr, vendredi 23 novembre 2018, les critiques fusaient déjà dans les milieux culturels qui redoutent de voir des galeries et des musées vidés d'oeuvres qui faisaient leur richesse. Est-il possible de restituer ces oeuvres à l'Afrique ? La question juridique, souvent évoquée comme frein, est-elle surmontable ?
Avec :
- Maître Ghislain Kikangala, avocat, président d’Avocap Europe, ancien membre du Conseil de l’ordre francophone des avocats du Barreau de Bruxelles
- Julien Volper, conservateur du Musée Royal de l’Afrique centrale de Tervuren, maître de conférences à l’Université Libre de Bruxelles
- Maître Yves-Bernard Debie, avocat au Barreau de Bruxelles, spécialiste en droit de l’art, ancien membre du Conseil de l’ordre francophone des avocats du barreau de Bruxelles
- Maître Caline Kamya Nkontchou, avocat au Barreau de Paris et du Cameroun, présidente de l’Afrique du Palis, membre du Conseil d’administration d’Avocap, AMCNB
- Maître Corinne Hershkovitch, avocat au Barreau de Paris, spécialiste en droit de l’art, membre d’Avocap.
-Maître Bocar Kanté, avocat au Barreau de Paris,spécialiste en droit du patrimoine culturel, spécialiste en droit du patrimoine culturel, membre d'ICOMOS (Conseil International des Monuments et des Sites) International.
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