A une semaine des élections législatives, personne ne peut dire à quoi ressemblera l’Italie de l’après 4 mars 2018. Car les Italiens sont très divisés, et près de 50% d’entre eux ne savent pas encore pour qui ils vont voter : pour la coalition de droite et d’extrême droite formée autour de l’indéboulonnable Silvio Berlusconi et soutenue par La Ligue du Nord et le parti néofasciste « Fratelli d’Italia », ou pour le Parti démocrate du Florentin Matteo Renzi, ou encore pour l’inclassable Mouvement 5 étoiles désormais dirigé par un leader plus conventionnel, en la personne de Luigi di Maio. En tout cas, l’Europe s'inquiète à l’approche de ces élections législatives car l’Union européenne a peu soutenu l’Italie, durant la crise migratoire, et les Italiens traditionnellement europhiles se détournent un peu de l’Europe.
Avec :
- Alberto Toscano, journaliste et écrivain, son dernier livre « Sacrés Italiens » chez Armand Colin.
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- Jérémy Dousson, directeur général adjoint d’Alternatives économiques, et auteur de Un populisme à l’italienne aux éditions Les Petits Matins.
- Giuliano da Empoli, écrivain et journaliste, auteur de Le Florentin chez Grasset. Président de Volta.
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- Daniel Debomy, chercheur associé à l’Institut Jacques Delors.
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Avec la participation de Carole Lyon de Courrier International.
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