Au début des années 70, le Yémen du Sud était socialiste et affilié à l’Union Soviétique. Vingt ans et quelques conflits locaux armés plus tard, c’est la réunification avec le Nord, alors dominé par la famille Saleh. Une situation qui a largement bénéficié aux salafistes, même lors du Printemps 2011.
C’est la toile de fond du dernier roman de l’auteur yéménite Habib Abdulrab Sarori, « La fille de Souslov », qui sort en avril 2017 chez Actes-Sud/Sinbad, et qui dresse un constat amer sur les dérives de la société yéménite sous influence religieuse.
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