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Malawi

Malawi: accusée de corruption, l'ex-présidente Joyce Banda de retour d'exil

Deuxième femme à être devenue présidente d’un pays africain, Joyce Banda espère remettre son mouvement politique, le « People's Party » (« Parti populaire », PP) en ordre de marche, malgré les accusations de corruption qui pèsent toujours contre elle.

L'ex-présidente du Malawi, Joyce Banda, de retour dans son pays le 28 avril 2018.
L'ex-présidente du Malawi, Joyce Banda, de retour dans son pays le 28 avril 2018. Amos Gumulira / AFP
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L’ancienne présidente du Malawi, Joyce Banda, a été acclamée par ses soutiens pour son grand retour au pays, ce 28 avril. Elle a pu rentrer sans encombre malgré un mandat d’arrêt émis contre elle en 2017 dans une affaire de corruption d’Etat.

Le « Cashgate » avait ébranlé le pays en 2013 lorsqu’un audit international avait révélé que 30 millions de dollars avaient disparu des caisses de l’État au profit de dizaine d’officiels et d’hommes d’affaires.

Ambitions politiques ?

De nombreux bailleurs étrangers avaient suspendu leur aide au pays suite à ce scandale, qui a contribué à la disgrâce de Joyce Banda.

De retour au pays, l’ancienne cheffe d’État est toujours présidente de son mouvement, le « People's Party » (« Parti populaire », PP). Elle n’a pas précisé immédiatement quelles étaient exactement ses ambitions politiques.

Des élections nationales doivent d'ailleurs avoir lieu dans un peu plus d'un an au Malawi et Joyce Banda doit s’exprimer ce dimanche 29 avril lors d’un meeting politique.

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