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Invité international

Brexit: «Si ses opposants ne se mettent pas d’accord, Boris Johnson a gagné la partie»

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Le Premier ministre britannique a annoncé mercredi son intention de suspendre le Parlement la deuxième semaine de septembre et jusqu'au 14 octobre, soit deux semaines avant la date prévue du Brexit. Cette décision a déclenché une vague d'indignation au Royaume-Uni où une pétition contre cette mesure recueillait ce jeudi plus d'un million de signatures. Décryptage d'Aurélien Antoine, professeur de droit public à l’université Jean Monnet de Saint-Etienne et fondateur de l’Observatoire du Brexit, spécialiste du droit constitutionnel britannique. 

L’annonce de Boris Johnson de suspendre le Parlement entre mi-septembre et mi-octobre a provoqué un tollé au Royaume-Uni.
L’annonce de Boris Johnson de suspendre le Parlement entre mi-septembre et mi-octobre a provoqué un tollé au Royaume-Uni. Neil Hall/Pool via REUTERS
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« La Constitution, c’est un esprit, c’est une pratique. Et manifestement, Boris Johnson est allé contre l’esprit de la Constitution et contre la pratique. Jamais une prorogation, qui est une décision très banale dans la vie parlementaire, n’a fait l’objet d’une telle manipulation. »

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