Le 2ème épisode de notre série consacrée à Djougou, la 3e ville du Bénin, au nord du pays. Cette cité de 300 000 habitants, à majorité musulmane, a fait parler d’elle ces dernières années à propos de migration : c’est de là que venait la plupart des jeunes migrants béninois rapatriés de Libye ou d’Algérie. Malgré les dangers, sur le parcours, dans les pays d’accueil, malgré les récits de ceux qui sont revenus, les jeunes Djougois continuent de partir.
Voir les autres épisodes
-
Cameroun: le musée des rois Bamoun «pour conserver notre histoire» [3/3]
Au Cameroun, le musée des rois Bamoun à Foumban dans l'ouest du pays retrace l'histoire d'un des plus anciens royaumes d'Afrique subsaharienne fondé en 1384. 600 ans d'histoire retracés grâce à des milliers d'objets exposés. L'occasion pour le peuple Bamoun de découvrir davantage son histoire. Ce musée des rois Bamoun est un cadre propice pour accueillir les objets d'arts Bamoun illicitement exposés dans des musées étrangers.08/05/202402:15 -
Cameroun: les forgerons du royaume Bamoun, une notoriété qui traverse les frontières du pays [2/3]
Dans le paysage culturel du royaume Bamoun, impossible de passer à côté des forgerons du bronze. À son âge d’or, leur art a attiré de nombreux touristes. Aujourd’hui, il y en a moins, tout comme le nombre de forgerons Bamoun qui a diminué, ces dernières années. Mais leur réputation ne faiblit pas au Cameroun. Et les œuvres majestueuses de ces sculpteurs du bronze illuminent toujours le centre d'artisanats de Foumban.07/05/202402:16 -
Cameroun: le métier de tisserand traditionnel bamoun est menacé [1/3]
À Foumban, capitale du royaume bamoun, dans l'ouest du pays, les tisserands traditionnels sont de moins en moins sollicités, concurrencés par les tissus industriels qui affluent en masse sur le marché. Mais des passionnés travaillent à la pérennisation d'un art ancestral qui se transmet depuis 600 ans, en famille, chez les Bamoun.06/05/202402:16 -
Soudan du Sud: l'agriculture, refuge pour les malades du syndrome du hochement de tête [3/3]
Au Soudan du Sud, c’est une maladie mystérieuse et dévastatrice qui touche les enfants à partir de trois ans. Le syndrome du hochement de tête est une maladie neurologique qui évolue au fil des années vers une forme d’épilepsie, parfois mortelle. Les organisations qui se sont réunies au sein de la Nodding Syndrome Alliance, un consortium d’ONG et d’universités formé en 2019, ont mis en place une réponse pour aider les familles, dans trois localités de l’Équatoria-Occidentale, à l’ouest du pays.05/05/202402:22 -
Soudan du Sud: la médecine traditionnelle comme alternative contre le syndrome du hochement de tête [2/3]
Quelque 6 000 cas de syndrome du hochement de tête ont été estimés dans la région de l'Équatoria-Occidentale, au Soudan du Sud. Mais l’étendue de l’épidémie est mal connue, notamment du fait du manque d’infrastructures médicales. Le manque d’accès aux soins, et notamment aux médicaments antiépileptiques qui permettent de contrôler les symptômes de la maladie, pousse certains parents d’enfants malades à se tourner vers des herboristes, des médecins traditionnels.03/05/202402:24