Beyrouth, c’est pas que la guerre, les tensions inter-ethniques ou la Q des réfugiéssyriens. D’ailleurs, notre invité, Alexandre Najjar, aime à citer cette phrase de Khalil Gibran : «Si le Liban n’était pas mon pays, je l’aurais choisi pour pays». Vous me direz que les poètes ont l’art de tout sublimer, éclat d’obus comme éclat de voix...Auteur d’une trentaine de livres traduits dans une douzaine de langues, avocat à la Cour aux multiples occupations, membre fondateur du Centre maronite de recherches, ancien consultant auprès du ministère libanais de la Culture, ancien chroniqueur littéraire par ailleurs très investi sur la question de la Francophonie, il est aujourd’hui dans le fauteuil d’En Sol Majeur escorté par son Dictionnaire amoureux du Liban (Plon, 2014) et son nouveau récit intitulé Mimosa (Les Escales, 2017).
Les choix musicaux d'Alexandre Najjar:
- Brahms Danse hongroise
- Fayrouz Aatini al naya wa ghanni
- Léonard Cohen Iam your man
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