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Revue de presse des Balkans

À la Une: Macédoine du Nord, Aléxis Tsípras en visite «historique» à Skopje

Une revue de presse présentée en partenariat avecLe Courrier des Balkans.

Le Premier ministre de Macédoine du Nord, Zoran Zaev (g), et le Premier ministre de la Grèce, Alexis Tsipras (d), à Skopje en Macédoine du Nord, le 2 avril 2019.
Le Premier ministre de Macédoine du Nord, Zoran Zaev (g), et le Premier ministre de la Grèce, Alexis Tsipras (d), à Skopje en Macédoine du Nord, le 2 avril 2019. REUTERS/Ognen Teofilovski
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Aléxis Tsípras était en visite officielle en Macédoine du Nord le 2 avril. Après la conclusion il y a dix mois d’un « accord historique » soldant le « conflit du nom », place désormais à l’économie. Affaibli politiquement, le Premier ministre grec veut prouver que l’accord est une bonne nouvelle pour son pays.
Macédoine du Nord : Aléxis Tsípras en visite « historique » à Skopje
→ À lire aussi : Entre Athènes et Skopje, la guerre des « vins macédoniens »
→ Retrouvez le dossier :Après 27 ans de querelle avec la Grèce, la Macédoine est devenue la Macédoine du Nord

C’est un double camouflet pour Recep Tayyip Erdoğan, qui avait mis tout son poids personnel dans la campagne : au terme des élections municipales de dimanche, son Parti de la justice et du développement a perdu la capitale Ankara, alors que les résultats sont encore très incertains à Istanbul. L’AKP est également battu à Izmir et Antalya.
Municipales en Turquie : Erdoğan perd Ankara, incertitude à Istanbul

Qu’il semble loin le temps où le patriarche Pavle prenait la tête des manifestations des années 1990 contre Milošević. Son successeur, le patriarche Irinej, s’affiche aujourd’hui aux côtés d’Aleksandar Vučić et condamne sans appel la mobilisation citoyenne qui s’étend en Serbie et en Republika Srpska. Il est vrai que le régime de Belgrade sait se montrer généreux envers l’Église.
Serbie : l'Église orthodoxe « plus loin de Dieu, plus près du pouvoir »
Retrouvez le dossier :Serbie : le pouvoir absolu d'Aleksandar Vučić commence-t-il à vaciller ?

67 ans. Tel est, depuis le 1er janvier, l’âge légal de départ à la retraite en Croatie. Mais les syndicats croates mobilisent pour rassembler les 400 000 signatures nécessaires à convocation d’un référendum pour faire annuler cette réforme, dont le gouvernement prétend qu’elle devrait « améliorer l’espérance de vie ». Travailler vieux pour vivre plus ?
Croatie : les syndicats mobilisent contre la retraite à 67 ans

Le ministre italien de l’Intérieur a triomphalement annoncé sur sa page Facebook que Rome allait renvoyer 13 détenus roumains pour qu’ils purgent leur peine dans leur pays d’origine. Une mesure qu’il a promis d’étendre, notamment aux prisonniers albanais.
Matteo Salvini expulse des détenus roumains et promet le même traitement aux Albanais

Selon les dernières données officielles, les rémunérations des députés des parlements de Bosnie-Herzégovine sont sept fois plus élevées que le salaire moyen des citoyens du pays. À titre de comparaison, le ratio est seulement de 2,5 en Allemagne. Des disparités qui attisent la colère sociale.
Bosnie-Herzégovine : les députés gagnent sept fois plus que les citoyens

La Slovénie a rejoint l’Otan le 29 mars 2004, une décision qui ne faisait pas l’unanimité au sein de la classe politique ni de la population. Quinze ans plus tard, la déception est au rendez-vous, alors que l’armée slovène demeure chroniquement sous-équipée.
Slovénie : quinze ans dans l'Otan, et toujours pas d'enthousiasme

Dossier spécial Kosovo 1999-2019 : il y a vingt ans, l'Otan bombardait la « petite » Yougoslavie de Milošević
Après le début des bombardements de l’Otan, le 24 mars 1999, des centaines de milliers d’Albanais du Kosovo sont chassés de leur domicile par les forces serbes, ou choisissent de partir pour l’étranger. En Macédoine, les conditions de vie dans le camp de Blace sont terribles. Le récit de la correspondante du Courrier des Balkans au Kosovo, Nerimane Kamberi.
« Nous, les réfugiés » (un printemps à Skopje)

Ils ont fui leurs terres du Kosovo en 1999. Pour eux, le Monténégro a d’abord été un refuge, avant de devenir un cul-de-sac, un piège. Vingt ans plus tard, ils n’ont aucun droit et survivent comme des ombres administratives rejetées par Pristina, Podgorica et Belgrade, les trois États issus de la « petite » Yougoslavie. Reportage à Berane, dans les montagnes du nord du Monténégro.
Les réfugiés serbes oubliés au Monténégro

Ciudanoviţa est sortie de terre au début des années 1960, près des mines d’uranium des monts du Banat, exploitées par une société roumano-soviétique. L’extraction s’est arrêtée, mais quelques centaines de retraités survivent encore dans les anciens blocs d’immeubles de l’époque socialiste, près des terrils de résidus radioactifs.
Roumanie : la lente agonie de Ciudanoviţa, l'ancienne cité des mineurs d'uranium

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