A la Une: Kosovo, l’été de la diaspora
Une revue de presse présentée en partenariat avec Le Courrier des Balkans.
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Chaque été, les Kosovars de l’étranger rentrent au pays. C’est le temps des mariages, des retrouvailles entre frères, sœurs et cousins installés aux quatre coins du globe. Mais pour les plus jeunes, pris entre deux cultures, c’est parfois un moment délicat.
Kosovo : l’été de la diaspora
Cela fait des mois que l’on annonce l’ouverture imminente du Tribunal spécial chargé de juger les crimes de l’UÇK. La crise politique dans laquelle s’enfonce le Kosovo, incapable de former une majorité pour gouverner, complique encore la donne.
Crimes de l’UÇK au Kosovo : pas de gouvernement, pas de tribunal spécial ?
Fin 2016, Pristina adoptait une loi pour sauver le fleuron minier kosovar de la faillite, contre l’avis de Belgrade. Mais elle n’a jamais été mise en œuvre. Malgré leur division, tous les employés manifestent aujourd’hui leur pessimisme.
Kosovo : Albanais ou Serbes, tous les employés de Trepça ont peur de l’avenir
Son visage poupin a fait le tour du web. Peter Cvjetanović est même devenu le visage de la violence néo-nazie qui s’est déchaînée à Charlottesville. En Croatie, le pays d’origine de sa famille, on s’inquiète de cette publicité négative.
La Croatie ne veut pas être associée à Peter Cvjetanovic, le Néo-Nazi de Charlottesville.
Histoire, religion, politique. La figure d’Alojzije Stepinac concentre toutes les polémiques qui empoisonnent les relations entre la Serbie et la Croatie. Béatifié par Jean-Paul II, l’ancien archevêque de Zagreb, accusé d’avoir collaboré avec les Nazis, pourrait être canonisé dès 2018.
Eglises et nationalismes : Alojzije stepinac, le Cardinal croate de la discorde
Dilaver ’Bojku’ Leku a été tué en plein après-midi dans son restaurant de Struga, sur le lac d’Ohrid. L’homme s’était taillé une sulfureuse réputation dans les milieux criminels des années 1990 et figurait sur la liste noire des États-Unis.
Macédoine : l’ancien « Roi de la prostitution » assassiné d’une balle dans la tête
Ils sont de plus en plus nombreux à prendre un billet d’avion pour Sofia. La capitale bulgare, encore considérée comme « exotique », bénéficie de l’installation de compagnies low cost et de tarifs attractifs pour l’Europe de l’Ouest et du Nord. Mais pour durer, la ville va devoir réfléchir à une vraie stratégie pour offrir autre chose que de la bière pas chère.
Bulgarie : Sofia ou l’explosion du tourisme low-cost
Selon les statistiques du ministère de l’Intérieur bulgare, le nombre d’entrées de migrants et de réfugiés sur le territoire bulgare aurait chuté de 80% durant les six premiers mois de l’année 2017. Une tendance confirmée par le nombre de places disponibles dans les centres d’hébergement.
Bulgarie : 80% de réfugiés en moins pour les six premiers mois de 2017
Le ministre grec de l’Immigration l’a annoncé : les renvois de réfugiés vers la Grèce ont repris, après six ans d’interruption du règlement Dublin III. Les ONG sont inquiètes alors que les autorités sont toujours débordées.
L’Union européenne a recommencé à expulser des réfugiés vers la Grèce
Ils sont « petits » mais à l’origine des plus gros coups de ses dernières années en Roumanie : Casa Jurnalistului, Hotnews, Rise Project, Factual, Brrlog, Decât o Revistă, etc. Et rien n’effraie ces jeunes journalistes qui se battent au milieu d’un paysage médiatique dominé par les télé-poubelle des hommes d’affaires corrompus.
Roumanie : ces nouveaux médias qui bousculent le vieux monde journalistique
Des ours en pleine ville fouillant les poubelles. La scène, impressionnante, est devenue le quotidien de nombreuses villes de Transylvanie. Victimes de la déforestation, les plantigrades n’hésitent plus à se rapprocher des humains pour trouver de quoi manger.
Roumanie : affamés, les ours envahissent les villes de Transylvanie
Les immenses usines qui se sont installées ces dernières années aux périphéries industrieuses de l’Union européenne manquent de bras. Pour répondre à la demande, de douteuses « agences d’intérims » n’hésitent plus à importer des travailleurs des Balkans pour 2,5 euros de l’heure. Hors de tout cadre légal.
Dans les usines de Slovaquie, l’esclavage moderne des travailleurs balkaniques
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