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Revue de Presse des Balkans

A la Une: Bosnie, Croatie, Monténégro, Serbie, l'évidence de la «langue commune»

Une revue de presse présentée en partenariat avec Le Courrier des Balkans

Chaque jour, des millions de personnes parlent et écrivent dans une « langue commune », dont tous les locuteurs se comprennent mutuellement.
Chaque jour, des millions de personnes parlent et écrivent dans une « langue commune », dont tous les locuteurs se comprennent mutuellement. Getty Images/Image Source
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Chaque jour, des millions de personnes parlent et écrivent dans une « langue commune », dont tous les locuteurs se comprennent mutuellement, même si certains appellent cette langue « le bosnien », « le croate », « le monténégrin » ou « le serbe ». La Déclaration sur la langue commune, adoptée le 30 mars, a pour seul but de faire cesser les manipulations politiques et nationalistes. Les explications du linguiste Ranko Bugarski.
Bosnie, Croatie, Monténégro, Serbie : l'évidence de la « langue commune »

En Serbie, les manifestations quotidiennes contre le régime « autocratique » d’Aleksandar Vucic se poursuivent depuis le 2 avril. C'est une vague de fond qui a commencé à se lever dans le pays, rejetant un « système » profondément injuste. Les dernières infos et l'analyse du sociologue Jovo Bakić.
Serbie : le prétexte des élections, la révolte et le rejet du « système »

La Serbie se réveille • Dernières infos : « Cela fait quinze ans que la Serbie n'avait pas connu un tel élan démocratique »
Serbie : Aleksandar Vučić ou l'ivresse du pouvoir absolu

La police serbe a demandé à un établissement médical de lui donner accès à la liste de ses patients marqués « F », catégorie qui regroupe divers « troubles psychiques » et neurologiques - de l'alcoolisme à la maladie de Parkinson. Les milieux médicaux et les défenseurs des droits s'indignent d'une violation manifeste de la vie privée.
Serbie : la police veut ficher les personnes atteintes de troubles psychiques

Le Tribunal spécial pour les crimes de l'UÇK doit émettre dans les prochains mois ses premiers actes d'accusation. En attendant, les témoins protégés qui viendront à La Haye vivent déjà dans la crainte d'un « accident », qu'ils soient à l'étranger ou qu'ils se cachent au Kosovo. Rencontre avec « Halil », qui reçoit ses visiteurs avec une arme à la ceinture.
Kosovo : la mort rôde autour des témoins protégés du Tribunal spécial
Crimes de guerre au Kosovo : l'impossible justice ?

La facture sera salée pour les contribuables croates, mais le vote d'une loi spéciale et la nomination d'un administrateur public chargé de sauver le groupe ne garantissent pas la survie d'Agrokor. Moody's vient de déclasser le géant croate, considéré désormais comme « proche de la faillite ». Et les inquiétudes ne cessent de croître dans toute la région.
Croatie : Agrokor, le risque d'une faillite qui ferait chavirer les Balkans

Les nouvelles dispositions « anti-terroristes » européennes sèment la pagaille à la frontière slovéno-croate. Le renforcement des contrôles, côté slovène, a provoqué l'engorgement de tous les points de passage. De quoi inquiéter Zagreb, alors que s'approche la saison touristique.
Entre Slovénie et Croatie, les nouveaux contrôles sèment la pagaille

La compagnie slovène Adria Airways appartient désormais à un obscur fonds d'investissement iranien. Son directeur a pour dernière expérience d'avoir organisé la liquidation d'une chaîne de meubles en Estonie. L'État slovène avait pourtant largement mis la main à la poche pour recapitaliser la compagnie, avant de la brader... pour 100 000 euros !
Slovénie : Adria Airways, les derniers loopings d'une compagnie à la dérive

Ces vingt dernières années, la majorité des terres arables d'Europe de l'Est sont passées sous le contrôle des spéculateurs et de grands investisseurs. Loin de combattre le phénomène, les subventions accordées par l'Union européenne encouragent les concentrations. Au détriment des petits paysans, incapables de résister à la pression des géants du secteur.
Terres agricoles : en Europe de l'Est, l'UE favorise le retour de la grande propriété

Souscrire de nouveaux emprunts pour rembourser les dettes, promettre de réduire les dépenses publiques et renforcer la pression fiscale : voilà à quoi se réduisent les « politiques économiques » des deux entités de Bosnie-Herzégovine. Cela peut satisfaire le FMI, mais cela n'a aucune chance de sortir le pays de la stagnation et de la misère, ni de relancer enfin la croissance.
Bosnie-Herzégovine : quand la politique économique se résume à jongler avec les dettes

Une autoroute devrait bientôt relier Belgrade et Sarajevo, et la logique voudrait qu'elle passe par le canton de Tuzla, densément peuplé et poumon économique du nord-est de la Bosnie-Herzégovine. C'est compter sans les rancoeurs et les obsessions politiciennes locales. Fin mars, le Parlement de la Fédération s'est prononcé en faveur d'un aberrant tracé par Višegrad et les zones dépeuplées de Bosnie orientale.
Autoroutes en Bosnie-Herzégovine : les allégeances économiques avant l'intérêt économique

Au moins 100 000 mineurs non accompagnés ont emprunté la « route des Balkans » en 2015, selon l'International Rescue Commitee et Save the Children. Ils représentent des proies particulièrement vulnérables pour les mafieux et les trafiquants, alors que les conditions du voyage à travers les  Balkans se font toujours plus difficiles.
Réfugiés : à travers les Balkans, le drame des mineurs non accompagnés
Réfugiés : les prisonniers de la «route des Balkans», pris au piège de la fermeture des frontières

On reparle beaucoup de l'ouverture des archives de la Sigurimi, l'ancienne police politique du régime, qui a compté jusqu'à 10 000 agents, et à laquelle 20% des Albanais ont collaboré. L'écrivain Ismail Kadare, entre autres, réclame son dossier. La loi d'ouverture des archives a pourtant été votée en avril 2015. Et surtout les faits sont bien connus, il n'y a plus de grandes révélations à attendre. Le point de vue d'un historien.
Albanie : les archives de la Sigurimi et l'impossible confrontation avec le passé

La majorité des juifs des Balkans sont de filiation séfarade, mais ceux d'Ioannina étaient des romaniotes, des juifs hellénophones de tradition byzantine. Cette communauté a essaimé dans le nord de la Grèce, mais aussi en Albanie voisine. Le 25 mars 1944 à l'aube, les juifs d'Ioannina furent déportés à Auschwitz, et les descendants des rares survivants tentent de renouer les fils d'une mémoire assassinée. Reportage.
Entre Grèce et Albanie : la mémoire perdue des Juifs de Ioanina
 

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