C’est une belle histoire de musicienne née à Paris de parents syriens et qui, à travers la musique, raconte une quête, un voyage, une migration poétique et peut-être politique. Naïssam Jalal, flûtiste virtuose et compositrice, aime bien traîner. C’est son verbe fétiche. Le Grand Institut de Musique Arabe de Damas s’en souvient et l’immense violoniste égyptien Abdu Dagher aussi. Traîner, aller à la rencontre de, c’est son truc... Du jazz au rap libanais, en passant par des musiques de films, Naïssam Jalal résiste à la pensée unique de la musique, d’où sa présence En Sol Majeur avec son nouvel albumQuest of the invisible.
Les choix musicaux de Naïssam :
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