Prise en charge psychosociale du traumatisme post-génocidaire, 25 ans après
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En 1994, le génocide des Tutsis au Rwanda a entraîné, d’après l’ONU, la mort de plus de 800.000 personnes. Vingt-cinq ans après, les séquelles psychiques sont toujours présentes. Cauchemars, crises d’angoisse, dépressions, difficultés d’apprentissage chez les adolescents…
Comment les victimes se reconstruisent-elles ? En quoi consiste la prise en charge psychiatrique des victimes et des bourreaux ? Quel est le regard des acteurs, soignants et victimes sur leur parcours et leurs approches thérapeutiques ?
- Dr Darius Gishoma, psychologue clinicien et enseignant à l’Université du Rwanda au Collège de Médecine et des Sciences de la Santé
- Annonciata Mukamugema, rescapée. Membre de l’association des Femmes rescapées. Co-auteure de Cahiers de mémoire, Kigali, 2014
- Béatrice Niweburiza, rescapée. Membre de l’association des Femmes rescapées. Co-auteure de Cahiers de mémoire, Kigali, 2014. A été pendant de longues années «conseillère en traumatisme» pour l'Avega (Association des veuves du génocide) où elle a suivi des personnes gravement traumatisées ou malades pendant de longues années.
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