Au Tchad, des mouvements de colère au sein des magistrats se multiplient depuis plusieurs années. Dernier en date : le 9 octobre, la libération d'un détenu malgré une condamnation a provoqué l'indignation des hommes en toge.
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Selon le syndicat des magistrats, cette nouvelle ingérence de l'exécutif ne fait que montrer une fois de plus le malaise au sein de la profession. L'indépendance existe rétorque le procureur de la République.
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