C'était une étape attendue dans le conflit qui oppose Google aux éditeurs de presse français sur ce qu'on appelle les « droits voisins ». A partir d'aujourd'hui, le moteur de recherche qui ne veut pas payer pour l'utilisation de leur contenus, leur met le pistolet sur la tempe : soit ils acceptent ses conditions et verront les liens vers leurs articles s'afficher comme aujourd'hui, soit ils refusent et disparaitront alors quasiment des résultats de recherche. L'Alliance de la presse d'information générale, principale organisation du secteur en France, va porter plainte. Les explications de Pierre Louette, le PDG du groupe de presse Les Echos-Le Parisien.
« Il est difficile aujourd’hui de dire que l’on renonce à être visible dans les résultats de recherche de Google, car ça équivaut à perdre 30%, 40%, 50% et pour certains 80% du trafic. »
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