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Alors on dit quoi

Illettrisme, un défi au quotidien

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Selon l'Agence nationale de lutte contre l’illettrisme, une personne illettrée a déjà reçu un apprentissage de la lecture, mais n'en a pas acquis une maîtrise suffisante pour être autonome. À distinguer de l’analphabétisme qui concerne un adulte qui n’a jamais été scolarisé et qui doit tout apprendre. Il est difficile de trouver au niveau international des chiffres sur l’illettrisme en Afrique. La principale raison est que rares sont les pays qui distinguent, difficulté face à l’écrit, illettrisme et analphabétisme. Par exemple « Illiteracy » en anglais regroupe aussi bien l’analphabétisme que l’illettrisme et les problèmes linguistiques des personnes immigrées. Alors que le français distingue bien l’analphabétisme et l’illettrisme. Il n’empêche, trouver du travail, faire ses courses, lire un sms, ou toutes ces choses que l'on est amené à faire dans une vie deviennent de vrais défis, quand on ne sait ni lire ni écrire. Selon les derniers chiffres de l’Unesco datant de 2016, 750 millions de personnes sont dans ce cas de figure. 27% d’entre eux demeurent en Afrique subsaharienne. La jeunesse n'est pas épargnée. Quelles sont les situations que ces jeunes doivent affronter au quotidien ? Quelles solutions leur apporter pour éviter l'exclusion sociale ? Que mettent en place les associations pour les aider ?

Valérie, Diara Ndiaye, Aboubacar et Natalia.
Valérie, Diara Ndiaye, Aboubacar et Natalia. © RFI/Beverly Santu
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Mamadou Gouro Sidibe, fondateur du réseau social Lenali.
Mamadou Gouro Sidibe, fondateur du réseau social Lenali. © RFI/Beverly Santu

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