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De vive(s) voix

Maylis de Kerangal et ses traducteurs

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« Traduire, c’est trahir ». L’expression italienne est sévère vis-à-vis de ceux qui remanient des textes, sans les réécrire, pour les rendre compréhensibles dans une autre langue. En ce début du mois de juin 2019, le Collège international des traducteurs littéraires a justement réuni Maylis de Kerangal et ses traducteurs, pendant une semaine de séminaire, pour évoquer ce jeu d’équilibriste littéraire. Car un livre n’est totalement achevé que lorsqu’il est traduit, comme le disait Simenon.Avec Maylis de Kerangal et trois de ses traducteurs, Ursula Burger, vers le croate, Jordi Martín Lloret, vers le catalan et Ville Keynäs, vers le finnois.

La première semaine de juin 2019, Maylis de Kerangal rencontrait sept de ses traducteurs pour un séminaire à Arles.
La première semaine de juin 2019, Maylis de Kerangal rencontrait sept de ses traducteurs pour un séminaire à Arles. © ATLAS
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