Accéder au contenu principal
De vive(s) voix

Boris Cyrulnik ou le besoin d’écrire pour guérir d’une enfance fracassée

Publié le :

Pour l’auteur de La nuit, j’écrirai des soleils paru aux éditions Odile Jacob : « Le manque invite à la créativité. La perte invite à l’art, l’orphelinage invite au roman. Une vie sans actions, sans rencontres et sans chagrins ne serait qu’une existence sans plaisirs et sans rêves, un gouffre de glace ».La chronique de Lucie Bouteloup, La puce à l’oreille.

Boris Cyrulnik.
Boris Cyrulnik. © RFI/Guillaume Ploquin
Voir les autres épisodes
Page non trouvée

Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.