De vive(s) voix
Boris Cyrulnik ou le besoin d’écrire pour guérir d’une enfance fracassée
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Pour l’auteur de La nuit, j’écrirai des soleils paru aux éditions Odile Jacob : « Le manque invite à la créativité. La perte invite à l’art, l’orphelinage invite au roman. Une vie sans actions, sans rencontres et sans chagrins ne serait qu’une existence sans plaisirs et sans rêves, un gouffre de glace ».La chronique de Lucie Bouteloup, La puce à l’oreille.