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Les dessous de l'infox, la chronique

Les roms, victimes des infox relayées par les réseaux sociaux

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Une campagne de haine a visé cette semaine la communauté rom, dont des membres ont été accusés, sans aucun fondement, d’enlèvement d’enfants. La rumeur relayée sur les réseaux sociaux a déclenché de véritables expéditions punitives. Des Roms ont été physiquement menacés et agressés. Une vingtaine de personnes ont été interpellées pour ces violences, mais l’origine du phénomène reste à identifier. Tous les regards se tournent vers Snapchat, Facebook ou encore Twitter, qui ont permis de relayer les appels à la haine.

Un camp de Roms à Bobigny, le 25 mars 2019.
Un camp de Roms à Bobigny, le 25 mars 2019. KENZO TRIBOUILLARD / AFP
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Lutter contre la propagation de rumeurs sur les réseaux sociaux,  cela entraîne des coûts, et jusqu’ici les plateformes ont trainé des pieds pour réaliser ces investissements.

Pour en savoir plus, nous sommes allés voir un de ces acteurs du numérique qui se donne pour mission justement de rendre internet « plus sûr, plus sain et toujours plus rapide ». C’est la devise de Mozilla France. Nous interrogeons son porte-parole, Sylvestre Ledru, à propos des algorithmes, des modérateurs et du dilemme que pose la lutte contre les propos haineux et contre la censure.

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