1979 n’a pas marqué un arrêt de la production artistique en Iran, elle en a seulement infléchi la trajectoire. C’est le cas du cinéma, qui a vu de nouveaux thèmes apparaître. Un cinéma qui a suivi les soubresauts politiques et sociaux du pays, en conservant une certaine latitude d’expression. Avec la sémiologue Asal Bagheri. Même constat sur le plan de l’urbanisme, où les grands projets se sont souvent heurtés à des choix locaux autonomes. Téhéran en est un bon exemple. Avec l’urbaniste Mina Saidi-Sharouz.
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