Accéder au contenu principal
Agenda culture Afrique

Agenda culture Afrique du 4 au 10 novembre 2018

Publié le :

Où sortir cette semaine ? C'est l'agenda culturel avec Anne Bocandé d'Africulture. Le sabar de Mara Seck et l’electro de Stéphane Costantini formnte le groupe Guiss Guiss Bou bess. Installé à Dakar, il est en tournée et s’arrête en France cette semaine.

Le festival des identitées culturelles se tien jusqu'au 10 novembre 2018 à Ouagadougou.
Le festival des identitées culturelles se tien jusqu'au 10 novembre 2018 à Ouagadougou. Festival des identitées culturelles
Publicité

Le groupe Guiss-Guiss Bou Bess (qui signifie en français « La Nouvelle vision ») partage la scène du Caribean Social Club samedi soir avec le Dj Motsek et la chanteuse de « voodoo blues rock » Moonlight Benjamin : « Haïti, Sénégal et Guadeloupe réunit en un moment privilégié embarquant pour un « awesome sak diri », espace temps transversal où l’un fait le tout et le tout fait le lien », comme l’expriment les organisateurs. Ça se passe à Paris samedi 10 novembre au soir.

Fin de Dense Bamako Danse

Dernier jour du plus important festival de danse au Mali orchestré, depuis 15 éditions, par la chorégraphe et danseuse Kettly Noël. Ces derniers jours plus d’une trentaine de spectacles de danse, concerts et performances ont rythmé la programmation du festival Dense Bamako Danse proposé par la compagnie Donko Seko, dans différents lieux et aussi dans la rue. Vous avez peut-être croisé par exemple au feu de signalisation Kankou Moussa, des danseurs en pagne et avec bassines sur la tête, effectuant une chorégraphie, « Crossing the line ».

Ce dimanche 4 novembre, place à un balani façon Dense Bamako Danse, à des performances de jeunes danseurs et chorégraphes du Mali et de Côte d’Ivoire, avant une soirée de clôture du festival dans les jardins de Donko Seko.

Alors que le festival panafricain de théâtre Les Récréatrales s’est clôturé hier soir à Ouagadougou, la capitale burkinabè accueille la première édition d’un festival de cinéma.

Aux manettes ? Le réseau international d’association du CNA, le cinéma numérique ambulant, installé dans 8 pays africains. Et cette première édition du festival des identités culturelles qui s’ouvre ce 4 novembre, est né, nous confie l’une de ses organisatrices Stéphanie Dongmo, « de la pratique du CNA qui, parcourant les villages d’Afrique et les quartiers défavorisés, croise des valeurs et expressions culturelles qui malheureusement se diluent puis se perdent dans un monde de plus en plus globalisé ».

Au programme : une vingtaine de films sont projetés jusqu’à samedi prochain au village du Fespaco, à l’espace Gambidi et dans différents quartiers de Ouagadougou. En ouverture ce soir, le documentaire Au fantôme du père de Marie Laurentine Bayala, la quête identitaire d’une femme, métisse franco-burkinabè qui désire retrouver son père.

Des rencontres et discussions autour de la thématique « l’identité culturelle en milieu urbain » sont prévues. Vendredi soir, place à « la nuit de la résistance » qui réunira, de 20h à minuit, autour d’un feu de bois, des cinéastes, musiciens, plasticiens, conteurs pour discuter justement de comment ne pas se laisser submerger par les influences et diktats culturels étrangers. C’est un temps ouvert auquel, auditeurs et auditrices de Ouagadougou, vous êtes invités à participer.

La Coupe d’Afrique du slam/poésie fait ses débuts à Ndjamena

C’est aussi une première édition. Cette fois en slam et poésie et ça se passe à Ndjamena. La Coupe d’Afrique du Slam/poésie, une compétition autour de cet art clamé, disputée par des artistes de tout le continent africain, débute demain jusqu’à la finale samedi prochain.

Plus de 25 pays sont représentés par un ou une candidate. D’Afrique du Sud, à l’Algérie, du Liberia à l’Égypte, de Madagascar au Bénin les artistes se retrouvent dans la capitale tchadienne. Un événement panafricain qui, s’il célèbre d’abord le slam et la poésie, sera aussi rythmé de concerts, ateliers et conférences.

Mo'Kalamity en concert à Paris

On termine en musique, avec l’artiste Mo’Kalamity et son reggae soul dans ce titre Struggle of the spirit. L’artiste française née au Cap Vert, nourrie de l’histoire du reggae jamaïcain, est sur la scène du festival Villes des musiques du monde à Paris le week-end prochain.

NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail

Suivez toute l'actualité internationale en téléchargeant l'application RFI

Page non trouvée

Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.