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Accents d'Europe

Brexit: le blues des industriels britanniques

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Avis de blocage au sommet européen consacré au Brexit.Aucune avancée si ce n’est le constat qu’il faudra peut-être prolonger la période de transition jusqu’en 2021, après le départ officiel des Britanniques fin mars 2019. Pour l’instant, aucune date pour un nouveau sommet en novembre 2018 n’a été évoquée.Plus que jamais, c’est donc le spectre du No Deal, du divorce sans accord qui préoccupe tous les négociateurs.Au Royaume-Uni, l’industrie automobile est particulièrement inquiète, tant elle repose sur les importations de composants, et les exportations sur le marché européen. Le secteur emploie 850 000 personnes et représente un dixième de la production industrielle du pays. A Londres, Marie Billon a rencontré des entrepreneurs très préoccupés.

L'usine Jaguar à Birmingham, en Grande-Bretagne.
L'usine Jaguar à Birmingham, en Grande-Bretagne. REUTERS/Darren Staples
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Lidl en Serbie
Et le pays ne fait pas encore partie de l’Union Européenne, mais la Serbie vient d’accueillir, sur son sol, 16 magasins de l’enseigne de supermarché discount allemande LIDL. Un petit évènement commercial à l’échelle du pays qui a suscité une véritable hystérie des consommateurs. Tableau édifiant signé Simon Rico.

La pollution atmosphérique en Europe
La situation assez grave pour que la Cour des comptes européenne établisse, en septembre 2018, que 400 000 décès prématurés sont causés, chaque année, sur le continent par la mauvaise qualité de l’air.
La France est aussi dans le viseur de la cour de justice de l’Union Européenne pour ses faibles performances.
Transports alternatifs comme le vélo, transports publics, Zone à faible émission dans les grandes villes pour limiter la place de la voiture. Les solutions sont nombreuses. Pour en parler, on retrouve Daniel Vigneron du site myeurop.info.

Recherche professeurs désespérément
Pénurie de professeurs en Allemagne. Le pays fait face au départ à la retraite des enseignants de la génération du baby boom. Alors que les classes sont surchargées du fait de la hausse de la natalité et de l’arrivée des migrants. Résultat le gouvernement a demandé aux retraités de reprendre du service, et a engagé du personnel non diplômé pour assurer les cours. Reportage à Berlin de Deborah Berlioz.

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