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Invité international

Gênes: Anne Marijnen (Science Po) décrypte l'impact politique de la catastrophe

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En Italie, c’est ce samedi 18 août que les pouvoirs publics ont organisé les funérailles nationales des victimes de l’effondrement du pont autoroutier Morandi, survenu mardi dernier. La catastrophe de Gênes semble mettre en difficulté le gouvernement italien depuis mardi. Plusieurs familles de victimes ont par exemple décidé de boycotter ces funérailles. Elles accusent l'Etat d'être responsable de la mort de leurs proches. Le gouvernement Giuseppe Conte est au pouvoir depuis moins de trois mois. N'a-t-il pas été à la hauteur dans la gestion du drame ? Peut-on vraiment lui imputer une responsabilité ? Qu’est-ce qui choque le plus les Italiens et quelles sont finalement les conséquences politiques de cet événement ? Pour en parler, Anne Marijnen, spécialiste de l’Italie et maître de conférences en sciences politiques à l'université Paris 8, est l’invitée de la mi-journée de RFI. Elle répond aux questions de Jean-Baptiste Marot.

L'archevêque de Gênes, le cardinal Angelo Bagnasco, lors des funérailles nationales des victimes de l'effondrement du pont Morandi, au parc des expositions de Gênes, Italie, le 18 août 2018.
L'archevêque de Gênes, le cardinal Angelo Bagnasco, lors des funérailles nationales des victimes de l'effondrement du pont Morandi, au parc des expositions de Gênes, Italie, le 18 août 2018. REUTERS / Massimo Pinca
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« Pour les Italiens, la recherche de coupables plus que de solutions est assez mal perçue... »

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