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Orient hebdo

Des nuages sur le financement du cinéma israélien

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Lion d’argent à la Mostra de Venise, Foxtrot, de Samuel Maoz a représenté Israël aux Oscars, et a été être sacré meilleur film étranger par le National Board of Review. Une pluie de récompenses à laquelle la très controversée ministre israélienne de la Culture n’est sans doute pas étrangère, car en septembre 2017, Miri Regev a affirmé « avoir honte » que l’académie israélienne ait loué les mérites d’une œuvre qui selon elle, « salit l’image de l’armée » de son pays. Orient Hebdo se penche sur ce cinéma israélien, sur ce qu’il dit de la société israélienne, et sur les nuages noirs qui s’amoncellent sur son financement en raison d’un durcissement des mesures prises par l’Etat et des attaques récurrentes que certains politiques portent contre lui. Avec Ariel Schweitzer, historien et critique de cinéma.

Une partie de l'équipe du film Foxtrot au 74e Festival de Venise, le 2 septembre 2017. Le réalisateur Samuel Maoz entre les acteurs Lior Ashkenazi et Sara Adler.
Une partie de l'équipe du film Foxtrot au 74e Festival de Venise, le 2 septembre 2017. Le réalisateur Samuel Maoz entre les acteurs Lior Ashkenazi et Sara Adler. REUTERS/Alessandro Bianchi
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