Accéder au contenu principal
Ici l'Europe

La Macédonienne Radmila Sekerinska optimiste sur un accord avec la Grèce

Publié le :

Depuis 25 ans Athènes refuse l'appellation « Macédoine »  et bloque ainsi la FYROM (Ex-République Yougoslave de Macédoine), dans sa route vers l'OTAN et l'Union Européenne.

Radmila Sekerinska, la ministre macédonienne de la défense sur le plateau de RFI.
Radmila Sekerinska, la ministre macédonienne de la défense sur le plateau de RFI. RFI/Dominique Baillard
Publicité

La ministre « reste optimiste, parce que pour faire quelque chose dans les Balkans on doit être optimiste... Une solution serait un investissement dans la stabilité du pays et de la région ». Commentant les réticences du président Macron à l'ouverture des négociations d'adhésion dans l'union, Radmila Sekerinska lui renvoie la balle « j'utiliserai les mots du  président Macron : n'attendons pas, il y a une opportunité d'avoir un succès dans les Balkans, ces opportunités ne sont pas fréquentes (dans un pays ndlr) avec des différences culturelles religieuses ».

NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail

Suivez toute l'actualité internationale en téléchargeant l'application RFI

Voir les autres épisodes
Page non trouvée

Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.