Qu’on les appelle maquis à Abidjan (Côte d’Ivoire), foufou-bar à Lomé (Togo) tangara à Dakar (Sénégal), ou circuit à Douala (Cameroun), ils sont omniprésents dans les grandes villes. On s’y arrête pour manger sur le pouce, entre deux rendez-vous, parce qu’on a rien de prêt à la maison ou parce que la maison est trop loin du travail. Ils sont aussi parfois source de conflits entre leurs propriétaires et les mairies.Koffi Djeguema architecte, professeur à l’école africaine des métiers de l’architecture et de l’urbanisme à Lomé nous dit tout.
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