Elle s’appelle «Eusko» au pays basque, «Eol» du côté de Brest, «Sol-Violette» à Toulouse, «Radis» en Alsace ou encore le «Cers» à Narbonne… Derrière ces noms poétiques se cache une monnaie locale complémentaire de l’euro, et tout à fait légale. La France en compte environ une quarantaine et Paris va bientôt expérimenter la « Pêche », une monnaie locale qui existe déjà depuis 4 ans en banlieue parisienne. Le but : permettre aux citoyens d’acheter local et de soutenir les commerces de proximité, les artisans et les producteurs locaux. Un projet collaboratif et solidaire.
Brigitte Abel, fondatrice de la pêche
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