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Les métiers du numérique peuvent-ils sauver les seniors du chômage?

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Des formations informatiques atypiques s’intéressent aux plus de 50 ans. Grandis sans internet, les séniors peuvent-ils s’adapter et intéresser les employeurs? A quelles conditions?

Trouver du travail ou se reconvertir n'est pas toujours simple pour les seniors.
Trouver du travail ou se reconvertir n'est pas toujours simple pour les seniors. © Getty Images/Maskot
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- Nicolas Sadirac, directeur de l’Ecole 42
- José Polard,
psychanalyste, co-auteur du Dictionnaire impertinent de la vieillesse aux Editions Erès
- Régis Granarolo, président de MUNCI, une association professionnelle des informaticiens née en 2013, qui regroupe 3000 adhérents sur toute la France. Dirige également une entreprise d'insertion dans l'édition de logiciels applicatifs.

Reportage de Raphaëlle Constant à l'Ecole Simplon.
Dans le 18e arrondissement de Paris, à l’école Simplon.co, un réseau de « fabriques » numériques et inclusives (aujourd’hui, il existe 30 centres actifs). Simplon.co propose des formations gratuites aux métiers du numérique dédiées aux personnes éloignées de l’emploi (jeunes de moins de 25 ans peu ou pas diplômés, issus des quartiers populaires et des milieux ruraux, demandeurs d’emploi de longue durée, personnes réfugiées…). J’y ai rencontré Innocent, 43 ans, ancien juriste et Philippe, 49 ans, graphiste de formation, deux seniors en reconversion qui se lancent dans le bain du numérique. Ils suivent tous deux la formation « référent digital », depuis 3 mois, dans un groupe de 26 apprenants qui ont entre 20 et 50 ans.

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