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Accents d'Europe

Les désenchantés de la place Maidan

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C’est la grogne sur la place Maïdan à Kiev en Ukraine. Quatre ans après la révolution qui a débouché sur une guerre à l’est du pays, les Ukrainiens disent à nouveau leur mécontentement, celui d’un pays où les réformes s’enlisent. Devant le Parlement, ils ont installé des tentes, en espérant que leur colère ne sera pas confisquée par des intérêts politiques particuliers. C’est le reportage à Kiev de Sébastien Gobert.

En Ukraine, les commémorations du premier anniversaire de la révolution de la place Maïdan, le 20 février 2015.
En Ukraine, les commémorations du premier anniversaire de la révolution de la place Maïdan, le 20 février 2015. RFI/Sébastien Gobert
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Un média turc et libre
C’est un des derniers bastions de la liberté de la presse en Turquie. La télévision indépendante Medyascope vient d’ailleurs de recevoir le prix média, de Reporters sans Frontières, dans un pays qui est désormé placé 155ème sur 180 en termes de liberté de la presse.
Medyascope est une plateforme en ligne qui propose des débats sans auto-censure et loin de toute pression politique. C’est un grand journaliste turc Rusen Cakir qui l’a lancée en 2015, et qui emploie aujourd’hui une trentaine de personnes pour des programmes en plusieurs langues. Anne Andlauer s’est rendue dans leurs studios.

Personnage symbolique
Un peu plus d’un mois après les élections législatives, les Tchèques se préparent déjà aux présidentielles qui se tiendront en janvier 2018. Et c’est un personnage de fiction, héros d’une série télévisée qui fait beaucoup parler de lui. Un lobbyiste qui dénonce tous les travers de la classe politique, et qui n’a pas sa langue dans sa poche. A Prague, Alexis Rosenzweig.

La mort aux frontières de l’Europe
C’est un chiffre qui donne à penser. Un chiffre qui n’est pas officiel, mais qui a été obtenu le plus sérieusement du monde à partir des données collectées par les ONG. 40 000 migrants ont trouvé la mort, au cours de ces 15 dernières années, en voulant rejoindre l’Europe. Morts dans le désert, sur la Méditerranée ou dans les camps. Voilà ce qu’on apprend dans le livre collectif «La mort aux frontières de l’Europe, retrouver identifier commémorer», aux éditions Babel. Un ouvrage collectif coordonné par l’anthropologue Carolina Kobelinski qu’a interviewée Juliette Gheerbrant.

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