Métro, bus, taxi ou vélo partagé, à Pékin, on a l’embarras du choix. Mais le plus original moyen de locomotion reste sans doute le « pousse-pousse ». Plus la peine de le tirer à la force de ses cuisses comme au début du XXe siècle, ni même de pédaler ! Les « pousse-pousse » des temps modernes sont pour la plupart des mobylettes à trois roues équipés d’un moteur à essence, voire électrique.