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Chronique agriculture et pêche

L’innovation au service des producteurs de Niébé au Burkina Faso

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Le niébé, comme toutes les légumineuses, a un fort potentiel dans la réduction de la pauvreté, principalement pour les femmes en milieu rural. Au Burkina Faso, l’accent a été mis dans un premier temps sur l’augmentation de la production. Avec une production provisionnelle estimée à 720 000 tonnes pour l’année 2016, cette croissance de production en niébé est en dessous de la demande du marché local.

Nicodème Pikbougoum, qui est chef du projet Claphi,  de l’association Groupe de recherche et d’actions pour le développement, en abrégé GRAD
Nicodème Pikbougoum, qui est chef du projet Claphi, de l’association Groupe de recherche et d’actions pour le développement, en abrégé GRAD ©Sayouba Traore/RFI
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Il se trouve que la filière Niébé a du mal à décoller à cause d’une série de problèmes structuraux. On peut citer le bas niveau de production et de productivité, la désorganisation, ou plus précisément absence d’organisation de la filière, les coûts de récolte et de commercialisation très élevés, la faible promotion de la consommation locale du niébé. Pour toutes ces raisons, le niébé représente encore aujourd’hui une culture marginale.

Et pour booster la croissance, le projet pilote CLAPHI a été créé et mis en œuvre par le Groupe de Recherche et d’Actions pour le Développement (GRAD) afin de promouvoir et soutenir l’adoption des innovations post récoltes dans les provinces du Nayala et du Sourou.

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