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Accents d'Europe

Des Britanniques toujours très partagés sur le Brexit

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Le grand détricotage a commencé : Theresa May a entamé, le 28 mars 2017, la procédure de divorce avec l’Union européenne. Conformément à l’article 50 du Traité de Lisbonne, le Royaume-Uni a désormais deux ans pour négocier cette sortie de l’Union, «peut-être les négociations les plus compliquées de tous les temps», aux dires du ministre en charge du Brexit. Il faut en effet faire table rase de 44 ans de passé commun pour établir de nouvelles règles. Et en la matière, la Première ministre a des revendications bien précises. Ce Brexit aura aussi un coût pour le pays, évalué à 60 milliards d’euros. Alors, comment les Britanniques, qui ont voté à 51,9%, abordent-ils ce changement ? C’est ce que Marie Billon a cherché à savoir.

La Première ministre britannique Theresa May a signé, le 28 mars 2017, la lettre officielle adressée à Bruxelles qui doit déclencher la procédure de sortie de l'Union européenne.
La Première ministre britannique Theresa May a signé, le 28 mars 2017, la lettre officielle adressée à Bruxelles qui doit déclencher la procédure de sortie de l'Union européenne. © REUTERS/Christopher Furlong/Pool
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© RFI/Julien Mechaussie

Les Britanniques ont manifesté leur refus de l’UE. D’autres Européens veulent au contraire la célébrer, et pas seulement à l’occasion des 60 ans du Traité de Rome. Depuis quelques temps, c’est un mouvement citoyen pro-européen qui prend de l’ampleur : « Pulse of Europe ». Chaque dimanche après-midi, ils sont ainsi plusieurs milliers de citoyens à manifester dans des villes européennes pour célébrer l’Union. Un mouvement né en Allemagne et qui a fait tache d’huile dans plus de 70 villes du continent, comme à Berlin. C’est un reportage sur place de notre correspondant Julien Mechaussie.

C’est l’un des défis que l’Europe peine à relever : celui des réfugiés qui rejoignent le continent pour fuir la guerre et la misère. Avec une première en Italie : une école de psychothérapie destinée aux travailleurs sociaux, traducteurs et professionnels de la santé amenés à travailler avec les migrants. Derrière cette idée, se cache le psychothérapeute Natale Losi. Son portrait est signé Cécile Debarge.

Chronique jeunes. Pass inter-rail: une occasion manquée. La commission enterre l'idée d'un pass qui aurait permis aux jeunes de moins de 18 ans de voyager gratuitement dans tous les pays européens. Par Eve Minault

© RFI/Etienne Bouche

Dans les compétitions internationales, les lutteurs russes s'appellent Saïd, Chamil ou Magomed. Tous quasiment viennent du Daghestan, pays où la lutte est le sport national, et où ils sont considérés comme des modèles. Dans cette République située à l’est de la Géorgie, sur les bords de la mer Caspienne, la moitié de la population a moins de trente ans. Pour les jeunes hommes, s'illustrer dans cette discipline, c'est affirmer sa puissance et sa virilité, mais c'est aussi l'espoir de se faire un nom à l'international et de s'élever socialement. Le reportage d’Etienne Bouche.
 

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