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Invité Afrique soir

A Ceuta, les migrants «vivent dans une angoisse permanente»

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Près de 500 migrants ont passé ce vendredi matin la frontière entre le Maroc et l'enclave espagnole de Ceuta. Un passage en force, en escaladant le mur et les barbelés hauts de 6 mètres. Une fois de l'autre côté, en territoire espagnol, les migrants, tous des hommes plutôt jeunes, ont laissé éclater leur joie en hurlant et dansant dans la rue. Pourtant, les difficultés ne sont pas terminées, comme nous le raconte Jonathan Millet. Co-réalisateur du documentaire Ceuta, douce prison, il répond à Anne Cantener.

Un migrant africain sur la clôture frontalière dans l'enclave espagnole de Ceuta, au Maroc.
Un migrant africain sur la clôture frontalière dans l'enclave espagnole de Ceuta, au Maroc. REUTERS/Jose Antonio Sempere
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« Le migrants sont dans un centre ouvert, donc ils peuvent errer dans la ville, mais il y a un racisme latent très fort de la part des Ceutis. Ce sont des conditions très difficiles et surtout, le fait de ne pas savoir ce qui les attend, et que chaque matin à 6h dans les chambres, certains migrants soient arrêtés pour être expulsés dans leur pays, fait qu'ils vivent dans une sorte d'angoisse permanente. »

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