La justice pénale internationale face au défi de la diversité culturelle
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Tout accusé, même s’il a commis le pire des crimes, même de génocide, a droit à une défense et à un procès équitable. C’est le propos central du livre, La parole est à la défense, que vient de publier aux éditions Indigène – en version bilingue français-anglais – François Roux, chef du bureau de la défense au Tribunal spécial pour le Liban, et qui fut l’avocat de présumés génocidaires du Rwanda ou encore de Kang Kek Ieu, alias Douch, le tortionnaire khmer rouge au Cambodge. La justice pénale internationale qui s’est mise en marche depuis les procès de Nuremberg doit s’enrichir de la diversité culturelle de tous les acteurs, dit-il, et c’est de cela qu’elle pâtit aujourd’hui. Véronique Gaymard a rencontré François Roux lors de son passage à Paris.
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