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Grand reportage

La révolution citoyenne à la peine

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Il y a moins de 5 ans, le mouvement bolivarien et sa philosophie politique du Socialisme du XXIème siècle paraissaient tout puissants en Amérique Latine. Hugo Chavez, et ses dons histrioniques, dominait la scène politique, accompagné de Lula, puis Dilma Rousseff au Brésil, Nestor Kirchner, puis sa femme en Argentine, Evo Morales en Bolivie, Rafael Correa en Equateur, pour n’en citer que quelques-uns. Aujourd’hui, le panorama a bien changé et une nouvelle fiche bolivarienne est en jeu. Il s’agit de l’Equateur où après 10 ans de règne sans partage, le président Rafael Correa ne peut se représenter pour les élections générales du 19 février 2017. Après deux ans de vaches maigres, suite à la chute du prix du pétrole, la Révolution qui se présente comme citoyenne n’est plus aussi fringuante, même si elle a encore des ressources.

Rafael Correa, le président de la République de l'Equateur, à Quito en juin 2015.
Rafael Correa, le président de la République de l'Equateur, à Quito en juin 2015. © Reuters.
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