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Accents d'Europe

En Turquie, cette presse qui soutient Erdogan

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En Turquie, depuis la tentative de coup d’État du 15 juillet 2016, le pouvoir multiplie les arrestations de militants, d’hommes politiques et de journalistes soupçonnés de liens avec le PKK. Mais, si les attaques contre les médias d’opposition font régulièrement les gros titres de la presse internationale, en Turquie même une autre presse fait florès, celle qui soutient le gouvernement, y compris contre ses confrères. Anne Andlauer.

La Une du quotidien Yeni Safak le 1er novembre, après l'arrestation des journalistes de Cumhuriyet : « Ils ont soutenu le terrorisme, ils ont encouragé le putsch». A droite: «Les manchettes de la trahison».
La Une du quotidien Yeni Safak le 1er novembre, après l'arrestation des journalistes de Cumhuriyet : « Ils ont soutenu le terrorisme, ils ont encouragé le putsch». A droite: «Les manchettes de la trahison». © Yeni Safak
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Rfi/Laurent Berthault

Olivier Bertrand, journaliste français du site Les Jours, a lui aussi subi les foudres du pouvoir turc. Il y a quinze jours, il souhaitait réaliser un reportage sur une école pour les Syriens qui veulent apprendre le turc située à Gazyantep, à quelques dizaines de km de la frontière. Les policiers l’ont arrêté sur place, et jeté en prison pendant 3 jours, officiellement parce qu’il n’avait pas les autorisations nécessaires à ce reportage. Pour Olivier Bertrand, relâché et rentré en France, c’était un prétexte, et le journaliste raconte d’abord à Catherine Rolland, son état d’esprit pendant son incarcération.

Au Royaume-Uni, près de 125 000 étudiants à l’Université sont des ressortissants européens. Jusqu’à présent, ils paient les même frais que les Britanniques, en moyenne, 10 000 euros par an. Mais après le Brexit, ils pourraient bien rentrer dans la case « étudiants internationaux » et devoir payer des frais parfois 2 à 3 fois plus élevés qu’actuellement. Une perspective qui n’est, pour l’instant, ni confirmée ni infirmée par le gouvernement, mais qui inquiète beaucoup les étudiants. Marie Billon.

Un barman sert une bière pression du groupe AB InBev à Bruxelles, le 30 avril 2015.
Un barman sert une bière pression du groupe AB InBev à Bruxelles, le 30 avril 2015. REUTERS/Yves Herman/Files

C’est un poncif d’associer la Belgique à la bière, mais aujourd’hui le pays lui-même veut inscrire sa culture de la bière au patrimoine mondial de l'Unesco !... Le dossier de candidature est examiné, à partir de ce lundi, à Addis Abeba, en Éthiopie. Il existe plus de 3000 sortes de bières en Belgique ! C'est une tradition séculaire qui, espèrent les Belges, sera reconnue par l'Unesco Laxmi Lota.

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