Des Néerlandaises en lutte contre les fabricants d'implants mammaires

C’est un scandale sanitaire, dont l’ampleur n’est pas seulement européenne : celui des certaines prothèses mammaires au silicone. Aux Pays-Bas, une association se bat pour que les autorités sanitaires reconnaissent le lien entre graves problèmes de santé et le port de ces prothèses. Plus de 4 400 Néerlandaises ont déjà contacté une association de défense des victimes. La plupart d'entre elles explique souffrir de maladies auto-immunes. Longtemps ignorées, leurs souffrances semblent désormais prises un peu plus au sérieux par les autorités. Antoine Mouteau.

Marga van Amersfoort, présidente de l'Association des victimes des prothèses en silicone, conserve ses anciens implants comme preuve à charge pour un futur procès. © RFI/Antoine Mouteau

En Pologne, le gouvernement veut examiner une loi citoyenne proposée par l'Institut ultra-catholique Pro life Ordo Iuris pour interdire complètement l'avortement. En réaction, des associations luttant pour les droits de femmes ont réussi à récolter les 100 000 signatures pour déposer un projet de loi citoyen concurrent à l'Assemblée polonaise, demandant la libéralisation de la loi sur l'avortement, suivant le modèle français. Maya Szymanowska.

© Menorah Center

Ce 29 septembre 2016, l’Ukraine commémore les 75 ans du massacre de Babi Yar, une des pires tragédies de ce que l’on appelle la «Shoah par balles», l’extermination des Juifs par les Nazis, par des moyens sommaires. Aujourd’hui, la communauté juive d’Ukraine est en plein renouveau, c’est l’une des plus dynamiques de l’espace post-soviétique. Dans la ville de Dnipro, dans le centre-est du pays, un bâtiment symbolise ce réveil: la Menorah. C’est le centre culturel juif le plus grand du monde. Sébastien Gobert.

La République Tchèque affiche un taux de chômage à faire pâlir d’envie bon nombre de ses voisins occidentaux. Avec moins de 6%, on pourrait même presque parler de plein-emploi. Cela n’a cependant pas que des côtés positifs, car Prague doit faire face à une pénurie durable de main d’œuvre, et le gouvernement doit prendre des mesures pour y remédier, pour ne pas freiner le développement économique du pays. Alexis Rosenzweig.

© Rannarahvamuuseum

En Estonie, il faut rouler une demi-heure depuis Tallinn pour arriver à Viimsi, un ancien village au bord de la Baltique. C’est là que se trouve le musée Rannarahva, soit en français le musée des traditions côtières. Visite avec Cécile Debarge.