A Abidjan, une ville qui ne cesse de s’étendre et de grignoter les rares surfaces encore vierges, subsiste un poumon vert, une zone épargnée par le béton et les routes : le parc national du Banco. Un havre de paix et d’oxygène où les promeneurs se rendent seuls ou en famille pour prendre un peu de repos et fuir le vacarme urbain.